

Projets artistiques participatifs
Théâtre de l'opprimé·e, photographie participative, ateliers d'expression pour toutes et tous.
Conférence gesticulée féministe.




À propos de moi
Si je devais me présenter pour un projet professionnel, sans doute que je reprendrais et adapterais un petit texte écrit il y a quelques temps qui tente de résumer mon parcours. Le voici :
Friand·e d’histoires depuis toujours, j'ai commencé par l’étudier avec sa majuscule dans les amphithéâtres avant d’axer ma recherche sur le théâtre de l'opprimé·e dès 2016. En plus d'en pratiquer depuis ce moment-là, j'aime expérimenter et y mêler d’autres formes artistiques, comme la photographie. Je touche également aux arts plastiques et à l’écriture. Quand le projet se fait collectif, c’est pour moi une sorte de recherche de nouvelles formes de narration du monde vécu quotidiennement et politiquement par celles et ceux qu’on entend moins. Lier le vécu intime avec celui d’un groupe par le geste artistique se fait donc acte politique et, même à petite échelle, espère être porteur de changement. Ces dernières années, j'ai privilégié les projets participatifs autour des questions de genres et de l’espace public. Actuellement à Bruxelles, je suis souvent en vadrouille dans le Nord de la France pour y réaliser des créations collectives, principalement en quartier prioritaire (Lille 2021-2024) et en milieu rural du Pas-de-Calais (2025). Je tourne également une conférence gesticulée « Fallait (pas !) nous crêper le chignon » sur les amitiés et rivalités féminines.
Si je devais choisir de parler de ce que j’aime et ce qui peut donc faire qui je suis, je parlerais sans doute de tous ces projets de création et de prise de parole parce que cela me passionne, mais aussi de mes colocs et de l’importance de l’amitié dans ma vie, des lectures en terrasse, de la nage en eau sauvage et de mon envie de trouver des lieux doux et joyeux d’où lutter face à … tout ça.